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Les députés péquistes de la Montérégie multiplient les activités terrain

12 novembre 2007 | Par Équipe CJSO

Longueuil – Les députés péquistes de la Montérégie, Stéphane Bergeron (Verchères), Camil Bouchard (Vachon), Pierre Curzi (Borduas), Serge Deslières (Beauharnois), Bernard Drainville (Marie-Victorin), Marie Malavoy (Taillon) et Sylvain Simard (Richelieu) sont en mode écoute. Réunis en caucus vendredi à Longueuil, ils ont pris la journée pour entendre les représentations de cinq groupes d’horizons très divers: le Syndicat des producteurs de porc, le Syndicat de la fonction publique, la Corporation des propriétaires d’immeubles, l’Association des auteurs de la Montérégie et la Fondation du centre de réadaptation Le Virage.

« On n’a pas envie de passer notre temps à chercher la faille ou l’astuce pour renverser le gouvernement, confie Sylvain Simard, président du caucus. C’est ce que pratique l’ADQ et ça nous paraît de la vieille politique. Plus que des injures proférées au gouvernement, les gens attendent de nous des propositions qui vont améliorer leur quotidien, comme nous en avons fait sur la question identitaire en présentant des projets de loi que nous avons maintenant le goût de peaufiner avec la population du Québec. Nous aurions aimé que ce soit possible à l’Assemblée nationale, en commission parlementaire élargie, mais puisque Libéraux et Adéquistes s’y refusent, je vous promets que dans chacun de nos comtés il ne manquera pas de portes ouvertes dans les bureaux de députés, de cyber discussions, d’assemblées de cuisine et de soirées citoyennes. »

Pour Stéphane Bergeron, député de Verchères, il est urgent que les Québécois puissent se remettre à rêver, à décider et à bâtir. « Pendant ce caucus, nous n’avons fait le tour que de cinq problématiques et qu’avons-nous découvert? Des fermes familiales qui se meurent, une fonction publique qui se vide de son expertise, une Régie du logement où locataires et propriétaires attendent des mois avant d’être entendus, des auteurs qui demandent du support et une région qui demeurent l’enfant pauvre en matière de santé! Après cinq ans de gouvernement libéral, il est grand temps de remettre de l’ordre dans tout cela et de permettre à la Montérégie de reprendre le rôle moteur qu’on lui connaît », a déclaré monsieur Bergeron.

Forts des consultations qu’ils mènent dans tous les coins de la Montérégie, les députés péquistes soutiennent que leur prochaine plate-forme électorale sera la meilleure qui puisse être élaborée puisqu’elle sera branchée sur les besoins réels du monde.

SOURCE : Sylvain Rochon

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